Bordage des œuvres vives (II)

"Chronique d'une mort annoncée" !
Rien ne vaut une photo pour illustrer le problème :


Côté quille, les virures (bordés) ont été effilées (brochetées) et courbées dans le sens de la largeur. Pas de problème ! Par contre, sous la ligne de flottaison, ces mêmes virures, courbées seulement dans leur longueur, conduisent à des marches d'escalier. Si je continue ainsi, je cours à la catastrophe car les marches d'escalier seront de plus en plus prononcées.
Seule issue : travailler les virures en les courbant également dans le sens de la largeur, c'est-à-dire transversalement (voir la rubrique "Trucs et astuces"). Il me faut décoller les virures les plus indisciplinées. J'ai l'impression de me transformer en Pénélope. Déçu
Opération chirurgicale, j'ai ôté quatre virures :


Après avoir "travaillé" les nouvelles virures en conséquence, cintrage longitudinal ET transversal, voici le résultat (côté tribord) :


Nettement mieux, ne croyez-vous pas ? Et côté bâbord :


L'avenir me semble ainsi un peu plus serein.
Prochain rendez-vous : le moment où je poserai la dernière virure. Bien du plaisir en perspective.

A bientôt.

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